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Le Col de Rousset
La station l'hiver
Le Col l'été
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Aménagement de la station du Col de Rousset
• L’aménagement vise à reconquérir le cœur de la station,
en requalifiant l’espace public affecté à la circulation
et au stationnement des véhicules.
• Valoriser les fonctionnalités de l’espace public et l’identité
de la station du Col de Rousset et capter la clientèle de passage.
• Diversifier les activités et services sur les quatre saisons
et réaliser une véritable vitrine valorisant l’offre.
Un chantier de trois mois, commencé le 25 août 2014,
estimé à 900 000 €.
La rénovation est une réussite :
• L'accès à la place est facile et le parking,
sauf les jours de grande affluence, est possible.
• L'été, avec le beau temps, a été particulièrement propice.
• La saison d'hiver a été gâchée par le mauvais temps
et les pannes : la station ne semble pas être à la hauteur.
• Les activités au printemps et à l'automne sont encore à inventer.
• Il manque encore un point d'eau et des poubelles sur la place,
les jeux d'enfants ne sont toujours pas remontés.
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Automne 2014 : démolition du parking
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Remblai de la place
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Le tapis roulant
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Les trois premiers mois d'hiver,
le tapis roulant ne marchera pratiquement pas.
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Le tapis démontable restera en place tout l'été.
Trop fragile, on ne prend pas le risque de ne pas pouvoir
le redémarrer !
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Saison noire pour le ski de piste
Très mauvais temps tout le mois de février, peu de ski en raison
des pannes quotidiennes sur les téléskis !
Malgré l'optimisme du site de la Drôme qui annonçait une station
ouverte à 90%, même quand tout était fermé, le téléski de But
Sapiau restera fermé toute la saison : quand la neige est tombée,
les dameuses n'étaient pas prêtes et les jours suivants,
le vent du nord a chassé la neige vers Die.
Dernier week-end de février, du beau prévu.
La veille, la station presque vide en raison du temps médiocre et
du manque de téléski, je descends dans l'après-midi aux caisses
pour acheter mes forfaits pour la semaine suivante.
Trop tôt, il faut attendre la fermeture des pistes. Je remonte à
l'appartement et me représente à 5 heures moins le quart avec
ma carte bleue. Pas de chance, pour des raisons comptables,
la carte bleue ne peut être acceptée, il me faut un autre moyen
de paiement. Je repars chercher mon carnet de chèques,
mais à mon retour les caisses sont fermées !
Je retournerai une quatrième fois le lendemain matin au risque
de la foule.
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Le mercredi 25 février, une première belle
journées du mois, c'est calme au Col.
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Un beau soleil sur les pistes vides,
le télésiège est fermé par risque de vent !
Cela tombe bien, faute de remontées, au lieu des neuf forfaits
annuels que j'achetais les saisons précédentes, mes petits-enfants
se contenteront d'un forfait de 6 jours.
C'est à moi que cette gestion a fait faire 50% d'économie.
Dommage, car on reste sur un manque de ski :
l'après-midi du week-end, avec deux téléskis de moins, le plateau
était saturé. Avec deux petits-enfants, nous sommes remontés
en skis de piste du bas des Écondus vers le boulevard de retour ;
nous avons mis moins de temps qu'avec la queue,
puis nous sommes rentrés à l'appartement !
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Le col l'été
Malgré les cailloux, l'herbe va pousser. |
On s'amuse bien sur le rocher d'escalade (deux fois moins
grand que sur le projet), mais l'aire de jeu est à compléter !
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Le circuit est ludique, et les patinettes sont plus à l'aise que les VTT. |
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La petite tyrolienne (gratuite) ne désemplit pas.
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La structure gonflable (drop bag), trop chère, est délaissée.
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Page info no 104, créée le 15/9/2015
adaptée aux mobiles le 27/11/2016
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