Descartes et les Mathématiques BarycentreÀ la recherche du point G… Le barycentre n'est plus étudié au lycée.
À mes élèves de Meknès et à mon inspecteur qui, du fond de la classe, n'a guère apprécié cette leçon. Tout ce qui est dit ici en géométrie plane s'applique dans n'importe quel plan de l'espace ! | ||||
En géométrie affine, le barycentre de plusieurs points affectés de coefficients est un point réalisant une égalité vectorielle. | ||||
1. Rappels sur les vecteurs1.a. Parallélogramme : égalité de vecteurs et somme + ; Voir : vecteurs en seconde 1.b. Vecteurs colinéaires. 1.c. Droite passant par A de direction . 1.d. Vecteurs coplanaires. 1.e. Milieu : I milieu de [AB] : + = . | ||||
2. Repère2.a. Droite : (A, ) | ||||
3. Barycentre de deux points3.a. ActivitésBalance romaine. 3.b. Définition et formulesDéfinition :
Pour chercher G, avec la relation de Chasles, On obtient : (α + β) = − β , Cette relation assure que le point G existe et est unique. Figure : barycentre de (A, 2) ; (B, 1) Si k ≠ 0, alors kα + kβ = ; ceci montre que le point G est aussi le barycentre des points pondérés (A, kα) et (B, kβ). | ||||
Coordonnées barycentriques d'un point sur une droite Soit A et B deux points distincts d'une droite. (α, β) sont les coordonnées barycentriques de M relativement à A et B. On perd l'unicité du couple de réels (α, β), en remplaçant la première condition par α + β ≠ 0. Trucs et astuces GeoGebraLe barycentre des points pondérés (A, α) et (B, β) est donné par (αA + βB)/(α + β). Dans GeoGebra, il n'existe pas de repère sur une droite, pour y placer un point, utiliser les coordonnées barycentriques. | ||||
3.c. Position du barycentreDe la colinéarité des vecteurs et , on peut déduire que les points A, B et G sont alignés. théorème
Si les coefficients sont de même signe, on a 0 ≤ ≤ 1, donc le point G appartient au segment [AB]. α = − β d'où |α| GA = |β| GB, donc si |α| ≥ |β| ; GA est plus petit que GB ; G est plus près de A. | ||||
3.d. Problème réciproqueExprimer un point comme barycentre de deux autres : B milieu [AC] : B isobarycentre de A et de C, B au tiers de [AC] : B barycentre de (A, 2) et (C, 1) : 2 = , | ||||
3.e. Fonction vectorielle de Leibniz α + βFigure : G barycentre de (A, 2) et (B, ) = α ; = β ; Fonction vectorielle de LeibnizSoit (A, α) et (B, β) deux points pondérés tels que α + β ≠ 0, et G leur barycentre. Pour tout point M du plan, on a : α + β
= α(
+ ) + β(
+ ) = (α + β) = α + β = + . En remplaçant M par G on retrouve la définition du barycentre. En remplaçant M par A ou par B on reconnaît les formules permettant de calculer les vecteurs ou . | ||||
Montrer un alignementPour tout point M du plan, les propriétés suivantes sont équivalentes : En effet si A et B sont distincts, il existe deux réels α et β, non tous nuls, tel que C soit le barycentre de (A, α) et (B, β). | ||||
3.f. Cas particuliers : coefficients égaux ou opposésMédianes d'un triangle : si les coefficients α et β sont égaux et non nuls, l'isobarycentre I des points (A, α) et (B, β) est le milieu du segment [AB]. + = 2 . En géométrie analytique ou avec le produit scalaire, on peut vérifier la somme ou la différence des carrés de deux côtés d'un triangle avec les « théorèmes de la médiane » ; Voir lieux et théorème de la médiane Coefficients opposés : si α + β = 0 alors α + β = α( − ) = α est un vecteur constant indépendant du point M. Il n'y a pas de barycentre si A et B sont distincts. | ||||
4. Barycentre de trois points4.a. Extension des définitionsSoit (A, α) ; (B, β) et (C, γ) trois points pondérés tels que α + β + γ ≠ 0, α + β + γ = ; le point G est appelé barycentre des points pondérés (A, α) ; (B, β) et (C, γ). Figure : Barycentre de (A, 3) ; (B, 2) et (C,4) Démonstration : calcul du vecteur : Sur la figure ci-dessus : = β ; = γ ; = + = β + γ = | ||||
Coordonnées barycentriques d'un point dans un planSoit A, B et C trois points du plan, tous distincts et non alignés. Théorème de Gergonne (Joseph Gergonne 1771-1859) : (α, β, γ) sont les coordonnées barycentriques de M relativement à A, B et C. On perd l'unicité du triplet de réels (α, β, γ), en remplaçant la première condition par α + β + γ ≠ 0. | ||||
4.b. Fonction vectorielle de Leibniz α + β + γTransformation pour calculer le vecteur : Quel que soit le point M, on a : | ||||
4.c. Exemples : centre de gravité d'un triangleExemple 1 : isobarycentre d'un triangleCentre de gravité d'un triangle Soit G l'isobarycentre des sommets d'un triangle ABC. En prenant α = β = γ = 1, + + = Si A’ est le milieu de [BC] on a + = 2 donc + 2 = G est donc le barycentre de (A, 1) et (A’, 2). G appartient à la médiane [AA’] du triangle ABC et est aux , à partir de A, de cette médiane. La fonction de Leibniz permet d'écrire pour tout point M : + + = 3 . | ||||
Exemple 2 : calcul vectorielTrouver le point G barycentre de (A, 2) ; (B, 1) et (C, 1). Choisir A comme origine des vecteurs de la fonction vectorielle de Leibniz : Calcul vectoriel : | ||||
4.d. Théorème du barycentre partiel (ou d'associativité)Règle d'associativité :
Exemple 1 : B’ barycentre partiel Construction du barycentre G de (A, −1) ; (B, 2) et (C, 3) : Pour cela, construire le barycentre B’ de (A, −1) et (C, 3), | ||||
Associativité : construction de barycentres partiels Pour trouver le barycentre G de trois points pondérés (A, α) ; (B, β) et (C, γ), Remarque : si α + β ≠ 0, la droite (CG) coupe le côté (AB) en C’, qui est le barycentre partiel de (A, α) et (B, β). | ||||
Exemple 2 : Construire les barycentres partiels construction du barycentre de construire les barycentres partiels C’ de (A, 2) ; (B, −1) et A’ de (B, −1) ; (C, 4), puis trouver G à l'intersection des droites (CC’) et (AA’). | ||||
Exemple 3 : pas de barycentre partiel sur la droite (BC) G barycentre de (A, 2) ; (B, 1) et (C, −1). Construire les barycentres partiels B’ et C’. Le choix de A comme origine des vecteurs de la fonction vectorielle de Leibniz permet d'écrire : 2 = − = . Vérifier que la droite (AG) est parallèle à (BC).
Conclusions Si β + γ ≠ 0, A’ est le barycentre partiel de (B, β) et (C, γ), alors G est le barycentre de (A, α) et (A’, β + γ). Lorsqu'elles existent les droites (AA’), (BB’) et (CC’) sont concourantes en G. | ||||
4.e. Problème réciproqueExprimer un point comme barycentre de trois autres points Exercice 1ABCD est un parallélogramme. Écrire D comme barycentre de A, B et C : Méthode 1 ; somme vectorielle : = + ,
on en déduit que − + = Méthode 2 ; associativité : O centre du parallélogramme 2
= ; | ||||
Exercice 2ABCD est un parallélogramme, I est le milieu de [CD]. Solution I est le barycentre de (A, α) ; (B, β) et (C, γ) avec, par exemple, α = 1, β = – 1, γ = 2. Méthode 1 : associativité : I est l'isobarycentre de C et D donc + = Méthode 2 : calcul vectoriel : 2 = = + soit − + 2 = . | ||||
Exercice 3Soit trois points A, B et G et le point C barycentre de (A, 1) ; (B, 1) et (G, −3). Solution La fonction de Leibniz permet d'écrire pour tout point M : + − 3 = (1 + 1 − 3) , En particulier pour le point G on : + + = . G est le centre de gravité du triangle ABC. | ||||
Trois barycentresABCD est un parallélogramme, I le milieu de [BC], J le milieu de [CD]. Déterminer les rapports AK/KJ ; DK/KI. Exprimer K comme barycentre des points A, B, C, D. Solution ci-dessous : K est le barycentre de (A, 1) ; (B, 1) ; (C, 3) et (D, 5). Indications Premier barycentre Dans le triangle ADK, (GL) parallèle à (DI) est une droite des milieux. Deuxième barycentre Troisième barycentre | ||||
4.f. Aires et barycentreTout point G situé à l'intérieur d'un triangle ABC peut être défini comme le barycentre des points pondérés : Démonstration Si G est un point à l'intérieur d'un triangle ABC, on nomme A’ le point d'intersection de (AG) et de (BC), B’ le point d'intersection de (BG) et de (AC). Le théorème du chevron permet de montrer que le barycentre partiel de [B, Aire(CAG)] ; [C, Aire(ABG)] est aussi celui de [B, CA’] ; [C, BA’]. Le chevron permet de montrer, de même, que le barycentre partiel de [A, Aire(BCG)] ; [C, Aire(ABG)], qui est aussi celui de [A, CB’] ; [C, AB’], est situé sur la droite (BB’). Par associativité, le barycentre de [A, Aire(BCG)] ; [B, Aire(CAG)] ; [C, Aire(ABG)] est situé à l'intersection des droites (AA’) et (BB’) : c'est donc le point G. Ce résultat se généralise au cas où le point G est extérieur au triangle ABC, en comptant négativement les aires entièrement extérieures au triangle ABC. Application : le centre de gravité d'un triangle le partage en trois triangles de même aire. Sujet proposé dans le forum ilemaths | ||||
5. Problèmes d'alignementProuver un alignement : un point est aligné avec deux autres, s'il est le barycentre des deux points Soit ABC un triangle, P le symétrique de B par rapport à C, Q le point défini par = et R le milieu de [AB]. Prouver que P, Q et R sont alignés. Il suffit de montrer que Q est le barycentre de P et R : P est le barycentre de (B, −1) et (C, 2) donc en utilisant la relation de calcul du barycentre à partir du point Q on a : = − + 2 . R est l'isobarycentre de (A, 1) et (B, 1) et d'après la formule de la médiane du triangle QAB, En ajoutant membre à membre les deux premières égalités vectorielles on obtient cette troisième égalité : + 2 = + 2 = . Donc, Q est le barycentre de (P, 1) et (R, 2) ; P, Q et R sont alignés et QP = 2 QR. | ||||
Alignement : barycentre de deux pointsExercice 2 : le point I est aligné avec L et M, car il est le barycentre de ces deux points Soit un triangle ABC ; I, J et K les milieux des côtés [BC], [CA] et [AB], L est le milieu de [JC] et M le symétrique de K par rapport à B. 5.2.a. Écrire L comme barycentre et calculer 4 . 5.2.b. Écrire M comme barycentre et calculer 2 . 5.2.c. Écrire I comme barycentre. Solution 5.2.a. L est le barycentre de (A, 1) et (C, 3) d'où 4 = + 3 5.2.b. M est le barycentre de (A, −1) et (B, 3) d'où 2 = − + 3 5.2.c. En ajoutant membre à membres les deux égalités précédentes, Les points I, L et M sont alignés et = 2 . | ||||
6. Problèmes de lieuxABC est un triangle équilatéral tel que AB = 8 (l'unité est égale à 1 cm). 6.a. construire le barycentre G des points pondérés (A, 2) ; (B, 1) et (C, 1). On a alors les relations : et 2 = + (MH est une médiane de MBC).
6.b. Dire quel est l'ensemble (D1) des points M tels que Construire (D1). | ||||
6.c. Dire quel est l'ensemble (D2) des points M tels que . 6.d. Dire quel est l'ensemble (C1) des points M tels que : Construire (C1).
6.e. Dire quel est l'ensemble (C2) des points M tels que :. Construire (C2). Montrer que le cercle (C2) contient le point B. Cercles d'Apollonius : voir lieux géométriques dans le triangle | ||||
6.d. Somme de carrés α MA2 + β MC2 + γ MC2Transformation pour calculer α MA2 + β MC2 + γ MC2 avec le barycentre des points pondérés (A, α) ; (B, β) et (C, γ). Utilisation du produit scalaire pour calculer des carrés. α MA2 + β MC2 + γ MC2 = α 2 + β 2 + γ 2 = α( + )2 + β( + )2 + γ( + )2
Comme α + β + γ = , on a : α MA2 + β MC2 + γ MC2 = (α + β + γ) MG2 + α GA2 + β GB2+ γ GC2 Si d2 > α GA2 + β GB2 + γ GC2, le lieu des points M tel que α MA2 + β MC2 + γ MC2 = d2 est un cercle de centre G. Applications – Quatre points : α MA2 + β MC2 + γ MC2 + δ MD2 = (α + β + γ + δ) MG2 + α GA2 + β GB2+ γ GC2 + δ GD2 ; | ||||
7. Barycentre de quatre points7.a. Extension des définitionsSi α + β + γ + δ ≠ 0 ; le point G défini par α + β + γ + δ = est le barycentre des points pondérés (A, α) ; (B, β) ; (C, γ) et (D, δ). Fonction vectorielle de Leibniz : pour tout point M on a : α + β + γ + δ = (α + β + γ + δ) . = + + + . | ||||
7.b. Associativité du barycentrethéorème d'associativité
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7.c. Centre de gravité d'un tétraèdreLes 4 médianes et les 3 bimédianes sont concourantes au centre de gravité du tétraèdre. Définitions : Les quatre médianes sont concourantes au centre de gravité du tétraèdre, situé aux , à partir du sommet, de chaque médiane. Les bimédianes relient les milieux des arêtes opposées. Figures 3D dans GeoGebraTube : bimédianes d'un tétraèdre | ||||
Droites concourantes Nous trouvons 7 droites concourantes au point G, centre de gravité : G est le milieu des trois bimédianes [IR] ; [JP] et [KQ] qui relient les milieux d'arêtes non concourantes. G est situé aux de chacune des médianes [AA’] ; [BB’] ; [CC’] et [DD’]. Voir ci-dessous : centre de gravité d'un quadrilatère et droites joignant les sommets d'un quadrilatère aux centres de gravité de triangles | ||||
8. Problèmes de concours et isobarycentres dans un quadrilatère8.a. Centre de gravité d'un quadrilatèreDéfinition : les médianes sont les segments reliant les milieux de deux côtés opposés d'un quadrilatère Propriétés Les médianes d'un quadrilatère se coupent en leur milieu Les deux médianes et le segment joignant les milieux des diagonales sont concourants au point G, centre de gravité du quadrilatère, qui est leurs milieux. Démonstration : Dans un quadrilatère ABCD, soit I le milieu de [AB] et K le milieu de [CD], D'après la règle d'associativité du barycentre, On montre, de même, que G est le milieu de la médiane [JL] et du segment [PQ] joignant les milieux des diagonales. Les trois droites sont concourantes en G milieu des médianes [IK], [JL] et du segment [PQ]. Figure interactive dans GeoGebraTube : Médianes et centre de gravité d'un quadrilatère Voir : théorème de Varignon Remarque : ne pas confondre ce centre de gravité (isobarycentre des 4 sommets) avec le centre de masse du quadrilatère plein (centre de gravité de la surface homogène), ni avec le barycentre des côtés (centre de masse du quadrilatère en fil de fer). | ||||
4 droites joignant sommets et centres de gravitéDroites joignant les sommets d'un quadrilatère aux centres de gravité de triangles Les quatre droites joignant un sommet du quadrilatère au centre de gravité du triangle formé par les trois autres sommets sont concourantes au centre de gravité G du quadrilatère. On a donc sept droites concourantes en G : ces quatre droites et les trois médianes étudiées au paragraphe précédent. Visualisation dans l'espace de ce problème plan, voir : centre de gravité d'un tétraèdre | ||||
Quadrilatère formé par les centres de gravité de trianglesDans le quadrilatère ABCD, de centre de gravité G, soit A’B’C’D’ le quadrilatère formé par les centres de gravité des triangles BCD, ACD, ABD, ABC. Par exemple, d'après la règle d'associativité, G est le barycentre de (A, 1) et (A’, 3) ; Ces deux quadrilatères ABCD et A’B’C’D’ sont semblables, par l'homothétie de centre G et de rapport − . | ||||
8.b. Bissectrices d'un triangleConstruction du centre du cercle inscrit comme barycentre Les trois bissectrices intérieures d'un triangle ABC sont concourantes Montrer que est la somme de deux vecteurs de même norme. D'après la définition du barycentre I, en prenant le point A pour origine on a : (a+b+c) = b + c . Les vecteurs b et c ont la même norme bc. Donc, = + = + . Construction à la « règle et au compas », voir : problèmes de construction | ||||
8.c. Concours au centre de gravitéChacun des côtés d'un triangle ABC est partagé en trois segments de même longueur ; grâce aux points : I et J sur [AB], K et L sur [BC], M et N sur [CA]. Solution Pour le point G, centre de gravité du triangle, on a 2 + 2 + 2 = . D'où 2 + + + 2 = . I est le barycentre de (A, 2) et (B, 1) donc 2 +
= 3 , Donc, 3 + 3 = . Voir : Propriété de Thalès au collège | ||||
8.d. Alignement et concoursOn considère un parallélogramme ABCD. K est le milieu de [AD], L le milieu de [BC] et les points I et J partagent [AB] en trois parties égales. 8.d.1. Alignement de quatre pointsAlignement dans un parallélogramme M est le quatrième sommet du parallélogramme JAKM. Le but de l'exercice est de montrer que les points C, M, G et I sont alignés. 8.d.1.a. Exprimer I, J, K, M et C comme barycentre des points A, B et D. | ||||
8.d.2. Point de concoursPoint de concours dans un parallélogramme Le but de l'exercice est de montrer que les droites (AL), (BK), (CI) et (DJ) sont concourantes. 8.d.2.a. Exprimer J et K comme barycentre de deux points puis exprimer G comme barycentre de A, B et D. | ||||
8.d.3. Correction de l'exemple ci-dessus 8.d.2.a. Soit G le point d'intersection de (BK) et (DJ). Cherchons trois nombres α, β et δ
tels que G soit le barycentre de (A, α) ; (B, β) et (D, δ). Étudions les barycentres partiels : De même, en ajoutant 2 aux deux membres de la deuxième égalité on a : La règle d'associativité permet de conclure que G est l'intersection des droites (DJ) et (BK). 8.d.3.b. D'après la formule des sommets d'un parallélogramme, C est le barycentre de(A, −1) ; (B, 1) ; (D, 1), G est le barycentre de (C, 1) et (I, 3). Ces trois points sont alignés et G est sur la droite (CI). 8.d.2.c. En combinant les deux relations précédentes, on trouve : Voir aussi le partage d'un segment en trois : constructions élémentaires, règle à bords parallèles Cas particulier du rectangle - pliage d'une feuille en trois parties égales : constructions - pliages
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